En Algérie, le souci de la protection des biens historiques est une constante. Les scientifiques recourent désormais aux nouvelles technologies pour assurer inventaires et conservation. Dans une Syrie ravagée par la guerre, c’est toute la culture immatérielle ainsi que de précieux sites naturels qui ont été impactés, ou ont disparu. Des initiatives émergent dans la population pour préserver et restaurer ce patrimoine inestimable.

De la Préhistoire à l’ère coloniale française, en passant par les périodes romaine, vandale et islamique, le patrimoine en Algérie n’a pas encore été totalement étudié. Aujourd’hui, la problématique de la protection de ses biens historiques se pose avec acuité. Des scientifiques s’y consacrent, recourant notamment aux nouvelles technologies pour assurer leur préservation.

La guerre a ravagé la Syrie et laissé derrière elle un désastre humanitaire et un paysage de désolation. Au-delà de certains sites emblématiques, c’est toute la culture immatérielle syrienne (biodiversité, arts et traditions) ainsi que des sites naturels remarquables et uniques qui ont été impactés ou ont disparu. Malgré un quotidien difficile, des initiatives émergent dans la population. À Alep par exemple, le centre culturel Al-Najma Heritage House propose des ateliers et des expositions autour de l’artisanat et des traditions culturelles syriens.
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Les nouvelles technologies au service du patrimoine
Un peuple résilient au chevet de son patrimoine immatériel
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